Un égoïste et un solitaire

Invité

Je me promenait tranquillement, je venais de quitté nuage de minuit un chat ennuyeux et insupportable et je continuait mon chemin vers je ne sais où.Je ne me pressait pas car je pensait à toute les blagues méchantes que je pouvait inventer.J'avais de très bonne idée mais toute se mélangeait dans ma tête qui allait bientôt exploser.Soudain je vit sur mon chemin un chat à l'air niait, je m'exclamai :

-Tient, le deuxième idiot de la journée !

Il ne m'entendis peut-être pas mais toujours est-il qu'il ne réagit pas enfin pas vite du moins ...
Je le regard et lui dit d'une vois désagréable :

-Hé oh! L'ancien! T'es articulation son rouillé, en tout cas celles de la bouche au moins !

Je le regardait et cherché quelle méchante blague je pourrais lui jouer .Tient si je m'éloigner, me cacher derrière un buisson puis lui sauté dessus.C'est une bonne idée, mais il faudrait l'améliorait par exemple comment je pourrais partir comme ça sans qu'il se doute de quelque chose.Je sais il suffit que je lui dise qu'il y a quelque chose de bizarre par là bas et que j'ai peur d'y allait, ensuite, je lui saute dessus et lui fait la plus grande peur de sa vie!Voilà un plan diabolique !Je vais le mettre à exécution :

-Euh...excuse moi, tu peut m'aider il y as une chose terrifiante là bas, j'en ai peur.Toi qui est un si grand guerrier, tu peut aller voir ?

Voilà, cet idiot va se faire avoir par les compliment ...

Invité

[je crois que tu t'es trompé de perso ^^']

Invité

[Oui effectivement, je jouer boule de cristal normalement .]

Invité

[ Merci pour la rectification, j'aurais pas calé que c'était Boule de Cristal sinon x ). ]

¿ Viva La Gloria ? [ Little Girl ] ~ Green Day.

Candide dansait presque à même le sol. Il marchait pattes tendues comme des arcs en chantonnant d'un air niais. Little girl, little girl, why are you crying ? Il n'avait pas la moindre idée de ce que cela voulait dire, mais il adorait chanter cela d'un air quelque peu stupide en marchait d'une manière ... tout aussi stupide. Un large sourire barra son visage. Inside your restless soul, your heart is dying ... Il avait une vague image de la bouche de sa mère articulant clairement ces quelques mots, disant les tenir elles-mêmes de sa grand-mère. Avoir une grand-mère chez les chats sauvages était assez exceptionnel, mais comme la famille de sa mère avait dégotté un coin tranquille dans la ville, leur lignée ne s'était jamais vue menacée mais était apte à se débrouiller si ces idiots de Bipèdes venaient à les attaquer. Ce qu'ils avaient fait. Candide soupira, son sourire s'évanouit. Il murmura quelques autres paroles dénuées de sens, sur le même air. Little one, little one, your soul is purging of love and razor blades ... Pourquoi cette chanson lui revenait-elle soudain aujourd'hui ? Il aimait bien l'air, c'est tout. Pourquoi aujourd'hui ? Pourquoi pas hier ni demain ? Il haussa les épaules. Il n'aimait pas les questions. Il reprit une phrase macabre dont il ignorait totalement la traduction. Si il connaissait la traduction de tout ce qu'il venait de chanter, il en aurait certainement froid dans le dos ... Your blood is surging ...

Il recommença ses chants et reprit sa marche stupide. Il recommençait à chanter tranquillement, un ton de voix tout à fait normal. Runaway, from the river to the street ... Il souriait de nouveau. Il n'avait jamais su simuler un sentiment négatif et s'en débarrassait souvent bien vite. Et avait la fâcheuse habitude de tout positiver. Absolument tout. Inattentif, il n'entendit même pas la voix railleuse qui s'éleva soudainement dans son dos. Il se souvenait avec un sourire d'allégrement à la chanson qu'il chantait, qu'une fois sa mère lui avait fait écouter non loin de la fenêtre d'un des Bipèdes. Elle l'avait reconnu, avait sourit à Candide puis lui avait demandé tout bas de le suivre sans faire de bruit et d'écouter la chanson. C'était la seule chanson que Candide connaissait par cœur, et n'avait pas la moindre idée de ce qu'elle voulait dire. Il s'en fichait, l'air était joli. Pourtant, si il savait que inside your restless soul, your heart is dying voulait dire à l'intérieur de ton âme agitée, ton cœur se meurt, il s'arrêterait aussitôt de chanter et ne demanderait même pas la suite de la traduction. Cette seule phrase en disait bien assez long sur l'idée macabre et sombre de la musique.

There is no place like home, when you got no place to go ... Mais en toute ignorance, il continuait inlassablement d'enchaîner les paroles sur une jolie voix de baryton. Il étouffa à nouveau la voix du chaton qui hurlait dans son dos.Un sourire toujours accroché aux lèvres, il chantonnait. Lorsque le chaton le héla pour la troisième fois, il le remarqua. Ne l'ayant pas entendu auparavant, Candide le cru gentil et adorable. Si il avait ouït ce que ce sale gosse lui avait hurlé dans le dos, il se serait évidemment méfié de cet impertinent malotru et sournois. Candide l'observa d'un air étonné. Il lui disait qu'il avait l'air d'un si grand guerrier ... Le matou de jais haussa un sourcil interrogateur. Il se foutait de sa gueule, ou quoi ? On lui avait dit toutes les horreurs du monde jusqu'ici, et il n'avait pas la carrure d'un matou taillé pour buter toutes les brutes du coin. Cependant, il fut heureux que quelqu'un le trouve autre chose que " stupide ", " niais ", " naïf " ... et j'en passe. Le chat noir hocha la tête sur le côté pour écouter le petit. Il le suppliait d'aller voir là-bas parce qu'il y avait une chose terrifiante ... Candide l'observa, d'abord interloqué, puis il éclata de rire. Un rire frais et joyeux, comme ceux des enfants.

« Dis, ton monstre, il est comment ? J'espère qu'il est pas bâti comme moi, sinon il ne saurait même pas se défendre contre toi ! Allons, vient avec moi, je te parie qu'elle n'est pas bien effrayante ta bestiole. »

Sourire aux lèvres, Candide lui offrit un sourire engageant et hilare. Qu'il était naïf et niais, ce mec !

Invité

Je n'avais jamais un chats aussi idiot, je l'avais insulté, je m'était moqué de lui, puis lorsque je lui avait fait croire que il y avait un monstre, enfin une chose effrayante plus et il avait tout avaler, mais totalement quoi ! IL avait même dit :

« Dis, ton monstre, il est comment ? J'espère qu'il est pas bâti comme moi, sinon il ne saurait même pas se défendre contre toi ! Allons, vient avec moi, je te parie qu'elle n'est pas bien effrayante ta bestiole. »

Quoi pas effrayante, évidemment, elle n'existe.Ce solitaire était vraiment un pauvre naïf.Je me retenait pour ne pas éclater de rire, je repris donc ma comédie :

- Il est énorme, vraiment énorme, regarder il est là, là, un peu plus, près à droite, à gauche .....

Comme un aveugle, il suivait mes indications à la lettre, et, pendant ce temps, je reculait douce ment continuant de lui donner des indications .Soudain il faillit se retournait je lui hurla :

-Vous y êtes presque attention, il est là tout près,, vite, j'ai peur, au secours !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Sur ce je me rue derrière un buisson pour lui donner l'impression de peur et continu à lui donnait des indications la voix tremblante.