La petite guerrière blanche venait de se lever. Le vent était frais mes le font de l'air très chaud pour se début de saison des feuilles vertes. Le soleil était déjà haut dans le ciel et ses rayons blafard venait réchauffer le pelage ébouriffé de la jeune. Quel bonheur que de se lever sous un soleil accueillant, enlacer par un air doux et emplie de l'odeur fraiche et légère des feuilles et fleurs naissantes!
Papillon Etoilé s'assit un instant pour lisser son poil. Puis de quelque coup de dents la féline enleva les quelques bouts de fougères et les brindilles du buisson qui étaient venues se loger dans son pelage doux et duveteux. Puis la queue ondulante elle s'approcha du tas de gibier où trainait quelque souris et mulots. Surement les restes de la vieille. Papillon Toilé pris un petit rongeur entre ses dents et alla sous le soleil. Elle aimait manger en sentant le soleil claquer sur son pelage blanc. Elle eut finis son déjeuner en quelque coup de dent. Un cris l'interpella et lui fit relever le museau et dresser ses oreilles. «Bonjour Papillon Étoilé! Pourrais tu aller me chercher quelque toiles d'araignée, demanda Coeur d'Ombre le guérisseur au pelage noir. S'il te plait. »
D'un hochement de tête la féline alla vers les bois, il y en avait toujours entre les branches ou au pied des arbres. Elle pris autour de sa patte et couru le redonner au guérisseur. Arrivé là-bas elel fut cherché de la corvée de chasse. Elle n'eut donc pas le temps de souffler qu'elle dut partir avec un jeune apprenti et une autre guerrière. Ils se divisèrent en deux et Papillon Étoilé se retrouva toute seul dans la lande fleuri de mille fleur violette et parsemé de rocher blanc. C'était la limite avec les plaines rocheuse, un lieu hostile et sec. Parfait pour trouver des lapins. Elle en rapporta justement deux, un petit maigre, et un gros et immense -qui lui demanda d'ailleurs beaucoup de mal à ramener, elle dut le trainer par les oreilles et marcher à reculons.
Ouf! Enfin arrivé! se dit la jeunette. Mais à peine eut-elle les fesses posé sur le sol vert et souple, qu'une voix plus que familière lui parvint: Plume du Temps. C'était un guerrier un peu plus âgé qu'elle et surtout bien plus imposant. Elle avait fait une patrouille avec lui il y a deux jours. D'une voix sèche et impassible il lui dit « Les Plaines Rocheuses... doivent être contrôler
-Mais... » Voulu contré Papillon Étoilé. Mais elle se résigna vite en voyant le guerrier au regard froid et sec s'éloigne la queue battante. « Si j'avais su je serai rester à la frontière et je en me serait pas embêter à reporter cette obèse de lapin... » marmonna-t-elle en s'engouffrant entre les ronces qui protégeait le camp.

La guerrière n'aimait pas le ton qu'il prenait avec elle. Il était trop sur et trop sec, comme si il la prenait comme une apprentie. Mais elle ne l'était plus, bon sang de bonsoir! Elle était une guerrière à part entière et son égal. Elle le suivait peut-être sans broncher mais elle n'en était pas moins une féline du même clan que lui et elle méritait son respect! Mais bon... On ne change pas des gens comme ça... Papillon le suivit donc sans broncher jusqu'à la frontière avant de s'assoir, pendant qu'il observait les environs.
Non son ton ne lui plaisait vraiment pas! Mais quand il lui fait signe de passer devant elle fut surprise et pris alors la tête de la patrouille. Bien vite le paysage devint très rocailleux et la terre de moins en moins accessible. Et il durent se déplacer sur les rocher lisse et blanc. L'odeur de gibier était forte et lui rappela les deux lapin qu'elle avait laisser aux clans. Son estomac se mit à gargouiller à cette pensée. Elle se tourna vers le guerrier. C'était le moment de s'imposer et de lui montrer qu'elle n'était pas un petit chaton san défense:
« Je vais me cherche un truc à me mettre sous la dent! » déclara-t-elle d'un ton sec avant de bondir entre deux rochers qui formait un petit bout de terre et de grimper sur les suivant, disparaissant derrière les masses blanches et moussues.