Attention ou je t'arrache les moustaches !![Eclat de Glace]

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°Elle posa une patte blanche sur l’herbe encore mouiller par la rosée . L’air était frai .La journée s’annonçais parfaite .La jeune reine leva les yeux vert le ciel . Entre les petits nuages blanc on pouvait encore dessiner la lune .Une bouffée d’air fraie vient ébouriffer son beau pelage blanc .
°Elle se releva , alla chercher une jolie petite souris bien dodu puis s’installa près de la tanière des guerriers pour la déguster .Tout en mangeant ce délicieux repas elle regarda autour d’elle. Tous les chats étaient en petits groupes. Mais elle , elle était seul … Seul comme toujours sans aucun amis .
°Bref elle devait aller a la chasse et ne pas s’apitoié sur son conte .Elle s’étira puis au petit trop se dirigea vert la sorti du camp. Mais a peine arriver un chat vient se mettre en travers de son chemin .Celui là si il commençais a l’embêter sa allait mal se passer pour ses moustaches !!

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Huuum, dormir ! Un des moments qu'Eclat de Glace préférait. Là, au moins, il n'y avait rien à faire, et il pouvait rêver autant qu'il le voulait. Penser un peu à la vie qu'il menait. Il se sentait parfaitement heureux, même si il se sentait parfois un peu solitaire. Certes, il avait son clan mais était-ce réellement suffisant ? Refusant de se lever, le matou tigré se glissa sur le dos. Il était encore tôt, il avait tout le temps. Refermant les yeux, il imagina une bonne souris bien dodue et l'eau lui monta à la bouche. Non, il ne devait pas craquer. Enfin, la faim le poussa dehors. Il se leva difficilement et s'étira pour se réveiller un peu. Sa fourrure était en pétard, et des touffes de poils rebiquaient sur son crâne. Il les sentaient sur ses oreilles, et c'était loin d'être agréable. Il passa un coup de langue sur sa patte avec laquelle il se frotta soigneusement le haut du crâne, avant d'entamer une petite toilette pour lisser sa fourrure et la faire briller. Voilà, il était déjà bien plus beau ! La queue en panache, il sortit de la tanière des guerriers, avant de jeter un oeil au tas de gibier... désespérément vide. Oh, mais quel clan de goinfre ! Le guerrier renifla amèrement. Il devrait attraper lui-même son repas et attraper celui des autres en prime. Ce n'était pas juste ! Découragé, il s'assit. Bon ok, c'était pas très mature de réagir comme ça, mais Eclat de Glace pouvait parfois cruellement manquer de maturité. Il se lécha le poitrail. Bon ! S'il n'y avait rien à manger, autant qu'il attrape lui-même son repas. Il se leva et sortit du camp d'un pas décidé. Mieux valait se dépêcher de trouver deux-trois proies pour nourire plusieurs guerriers. Une fois dehors, il huma l'air. Il sentit l'odeur presque effacée d'un pigeon, passé par là il y avait peu. Continuant sa ronde, le félin marchait très délicatement sur les feuilles mortes ; il ne devait pas faire le moindre bruit. Il se figea, les oreilles rabattue vers l'arrière. Oui, il avait bien cru entendre un petit bruit dans les fourrés juste derrière lui. Il tourna délicatement la tête et huma l'air en ouvrant doucement la gueule. Le fumet d'une souris lui enivra les babines, et il s'applatit sur le ventre, les muscles contractés. Il se rapprocha en touchant à peine le sol, et bondit sur sa proie. Il lui donna un coup de patte. Sonnée, le rongeur tenta de s'enfuir et tomba à terre. Le guerrier l'acheva presque aussitôt. Il s'étira longuement et enterra sa prise. Il fut agréablement surpris de trouver assez rapidement une pie. Mais, en même temps, c'était la saison des feuilles nouvelles. Il tua l'oiseau et remercia le clan des Etoiles. Bon, c'était déjà pas mal de rapporter deux prises. Trouvant qu'il avait de la chance, le jeune guerrier se dit qu'il pourrait retourner à la chasse dans l'après-midi.
Une fois de retour là où il avait enterré la souris, il la récupéra et la prit dans sa gueule avec l'oiseau. Son estomac criait famine, mais il se retint de mordre à pleine dent dans la viande fraîche. Le clan passe avant tout le reste. Ces mots rappelaient son père au jeune guerrier, et la même nostalgie qu'il avait depuis longtemps lui pinça le coeur. Il secoua la tête ; pour son père, il se montrerait fort et courageux du mieux qu'il le pouvait. Une fois arrivé au camp, il percuta une guerrière, et son chargement tomba à terre. Elle ne pouvait pas faire attention ? Mais il savait qu'il était en tort. Trop obnibulé par ses pensées, il n'avait pas regardé devant lui. Malheureusement, il était plutôt de mauvaise humeur.

« Eh ! Tu ne peux pas faire plus attention »

, demanda-t-il en grimaçant.

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[Up ? : )]