Le solei était déja haut dans le ciel.Ses rayons, si percants, atteignerent la tete d'Iris , jeune chatte domesique, en traversant les fenetre du salon. Elle remua dans son panier tout en gromelant .
-Stupide soleil , tu pourrais pas te le lever plus tard. J'esseye de dormir moi!
Ce fut donc comme chaque matin qu'Iris,de mauvaise humer, se reveilla dans son panier. Elle jeta un regard vers celui de sa soeur , vide comme d'habitude .La chatte se redressa et s'avanca vers la cuisine. Ses bipedes lui avaient laissé de l'eau et de la paté .Ce dernier devoré a moitié , montrait le passage de sa soeur.La jeune chatte se pencha vers le liquide et en lapa quelques gouttes avant de manger le reste de son repas. Soudain Sam , le berger allemand de la famille se jeta sur elle. Iris feula et esseya de s'estirper , non sans mal. Sam n'était pas méchant mais un peu trop amical. Elle couru se refugier sur le bord de la fenetre . Le chien s'avanca svers elle et lui aboya apres , Iris lui tira la langue vant de sauter par là fenetre.
Enfin libre! se dit elle. Elle se diriga ensuite,comme à son habitude, vers le buisson de fleur dont elle apreciait l'odeur. Une odeur si familiere et rassuante . Elle sauta ensuite sur la barriere avant de commencer sa toilette matinal. Soudain un bruit retendit . Il venait de la foret . Elle renifla en l'air. Sa sentait le chat.
-Ne m'approche pas! feula -t-elle.

Un jour de la saison des feuilles mortes commençait, comme tous les autres jours. Les rayons du soleil commençaient à percer dans la tanière des apprentis. Ce qui réveilla la jeune apprentie bicolore, elle aurait encore pu dormir un peu, mais bon. Si le soleil avait décidé de la réveillé ce n’était pas pour rien. Elle sortit donc après quelques minutes de réflexion, en sortant le bout de son nez, les rayons du soleil l’assommaient alors. C’est un peu normal on va dire, dans la tanière malgré le fait qu’il y avait quelques petits rayons qui traversaient ce n’était pas toute la lumière réelle. Nuage de Lueur voulut alors aller réveiller son mentor : Lueur d’Espoir, pour voir si elles partiraient s’entrainer aujourd’hui ou non. Mais plus personne n’était dans la tanière des guerriers, ce qui déçut un peu l’apprentie, elle aurait vraiment voulu la réveiller. Elles avaient une très bonne complicité. Elle sortit donc de la tanière, tête base. Elle commençait à avoir faim, mais préférait ne rien manger. Car oui, le gibier commençait à se faire rare et qu’elle préférerait laisser le gibier aux anciens et aux reines. Elle sortit alors du camp, sans grande idée d’où elle voulait aller. Peut-être allait-elle voir sa nouvelle amie : Dolce. Un e domestique très sympathique qu’elle avait rencontré lorsqu’elle s’était faite attaqué par ce gros lourdaud de Mostro.

Une fois dehors, car oui après avoir parlé faut bien passer à l’acte. Elle sentait les feuilles craqué sous ses pattes. Ah ce qu’elle aimait ça, l’air frôlant son pelage, ou encore même la simple odeur de la forêt. Elle avait finalement choisit d’aller voir ou du moins d’essayer de voir Dolce. Elle était presque à l’orée de la forêt, elle n’aimait vraiment pas la sensation d’être à découvert. Elle avait pris l’habitude à présent d’être sous le couvert des arbres. Elle s’approchait de plus en plus des habitations. Et si un bipède l’attrapait et si elle se faisait enfermer dans une de ces « maisons » ? Qu’est-ce qu’on dirait d’elle ? Qu’elle s’est enfuit ? Faite tuée et qu’on n’ait pas retrouvé son corps ? Elle en eu les larmes aux yeux, rien que de penser à ça la mettait hors d’elle. Ne plus revoir sa famille c’était un supplice, elle l’aimait. Oui elle aimait sa famille, même si elle était très dispersée. En pensant à ça, elle ne regardait même plus où elle marchait et puis elle fit craquer une brindille. Ce qui la fit sourire, ça lui rappelait une rencontre qu’elle avait fait il y a un moment. Elle entendit alors une voix très distinctement. Ce n’était pas du tout la même voix que Dolce.

• Ne m'approche pas ! Feula la voix.

Nuage de Lueur eu un ronron amusé. Pourquoi ce domestique avait-il peur d’un chat de la forêt ? Avaient-ils une si mauvaise réputation chez eux ? Elle rit encore plus à cette idée. Elle, un chat sanguinaire ? Jamais de la vie ! Elle avança alors vers l’origine de la voix. Tout en riant, plus elle s’approchait, plus elle discernait une silhouette fine et élancé de chat typiquement domestique. Ce chat était de couleur beige, surement un chat racé, mais c’était complètement égal à l’apprentie rousse et blanche. Elle se mit à courir vers ce chat rien que pour voir sa réaction et rire un bon coup. Un fois assez près du matou, elle dit :

• Et si je le fait, tu me fera quoi ?

Après avoir dit ça, elle sourit bêtement. Elle n’avait pas peur de ce chat, pourquoi avoir peur d’un chat domestique ? Elle voulut, une fois de plus lâcher un rire. Mais elle trouvait que c’était mal placé, déjà qu’elle s’était aventurer chez ce chat, si elle rigolait, ça allait encore plus nuire à la réputation des chats de la forêt.

Un chat sortit des buisson de l'autre coté du jardin . Iris reconnu une jeune femelle. Elle etait rousse et blanche elle avait aussi de longues pattes elancé et assez musclé comparé au fin menbres de la domestique mais l'inconnue semblait tres amegri . Iris eu de la peine pour elle mais ravala vite ce sentiment , c'etait un chat sauvage . Dans son ancienne ville on disait d'eux qu'ils etaient des monstres sanguinaires assoifés de sang . Pourtant cette chatte ne semblait pas tres dangereuse mais mieux vos prendre ses gardes. L'animal rigolai fierement . Iris n'allait quand meme pas se laisser intimider par un vulgaire chaton. Elle garda son courage et feula de nouveau. Apres tout c'etait sa maison si il voulait vivre ici il n'avait cas se trouver d'autres bipedes! L'apprenti courut soudain vers elle. Iris eu un mouvement de recule . Que lui voulait elle ?

• Et si je le fait, tu me fera quoi ? ricana le chaton.

Iris voyait que la jeune chatte se retenait de rire. Que pouvait t-il avoir de si drole. Elle ne croit tout de meme pas qu'un chat de son age puisse lui faire peur. Iris montra les crocs et herissa le dos:

• Qui es-tu et sort de chez moi tout de suite ! grogna t-elle. Si tu veux des bipedes tu n'a cas en chercher autres part ici c'est chez moi!

Nuage de Lueur se retenait toujours de rire, en voyant la femelle, car oui elle savait que c’était une femelle maintenant, lui montrer les crocs et faire le gros dos. Ce qui fit que Nuage de Lueur éclata réellement de rire. La femelle domestique était vraiment sérieuse et menaça l’apprentie.

• Qui es-tu et sort de chez moi tout de suite ! grogna t-elle. Si tu veux des bipèdes tu n'as cas en chercher autres part ici c'est chez moi!
• Je n’ai pas de frontière en dehors de la forêt. Que ça soit chez toi ou non je m’en contre-fiche. Et puis, je ne chercherais jamais de bipède, j’aime trop ma liberté pour être reconvertie en vulgaire chat de salon.

Elle se trouvait froide, oui froide car sa réponse n’avait pas était très gentille envers la femelle. Qui avait simplement peur pour elle, mais elle n’avait dit que la vérité. Elle ne voudrait jamais être un chat domestique. Elle avait trop rêvé de sortir et elle était même déjà sortie du camp étant chaton sans autorisation alors rejeter sa vie de chat sauvage pour avoir du pâté, qui selon Dolce n’était pas spécial par rapport aux souris. Une seule chose à dire : Non merci ! Elle se mit à sourire, pourquoi ? Parce qu’elle avait juste envie de se montrer amicale. Non pas parce qu’elle avait peur du matou devant elle, non pas du tout. Elle pensait juste qu’elle pourrait peut-être se faire une nouvelle amie. Même si cette amie serait domestique. L’amitié qui la lie a Dolce est spéciale alors pourquoi ne pas essayer avec cette femelle sans nom. Soudain, elle sentie une odeur qu’elle reconnue immédiatement, mais ne disait rien sur sa présence. Sa tante ne faisait peut-être que passer par là alors pourquoi l’interpeller ? Nuage de Lueur rompit le petit silence qui s’était interposé entre-elles.

• Au fait, je m’appelle Nuage de Lueur et comme tu l’as surement remarqué je suis un chat de la forêt. Et toi ?

Nuage de Lueur voulait apprendre ou plutôt essayer d’apprendre à connaitre ce mystérieux et orgueilleux matou. Mais à quel prix ? Elle arrêta de penser directement après s’être posé la question. A la place, elle regarda autour d’elle, il y avait pleins de maisons, c’était étrange. Elle préférait milles fois sa forêt.