Feu de Cendres était de bonne humeur ce matin. Le soleil brillait de mille feu et il fesait doux. Elle et sa soeur, Coeur d'Aubépine, avait décider de se ballader un peu. Après avoir bien manger, elles se mirent en route. Déstination => le champ de fleurs.

C'est une belle journée, tu ne trouve pas ? Dit-elle à sa soeur avec un sourire sur son visage.

Feu de Cendres adorait sa soeur, meme si, elle ne l'était pas vraiment. Pour elle, ça ne changeai rien de son affection pour elle.

Feu de Cendres adorai se promener avec sa soeur.

Bien... je suppose.... RIEN ! Dit-elle joyeusement.

Elle continuairent d'avance, puis, arriva enfin à déstination.

Oui, je le vois encore, dit-elle légèrement géné, d'ailleurs je l'ai vu il n'y a pas lontemps.Rajouta-t-elle plus à l'aise.

Avant de continuer leur conversation, elles s'installairent confortablement. Feu de Cendres alla s'allonger dans l'herbe légèrement humidifier par la rosée du matin, qui était entrain de se dissipé.

La dernière fois que je l'ai vu c'était sur l'Ile de Sable. Continua-t-elle enfin. J'y avait été pour me détendre quand, tout d'un coup, j'ai entendu un bruit. C'était lui. Ensuite on a discuter un long moment. Puis je lui est demander si il voulait des chatons et il m'a dit oui, alors... Tu dois surement deviner la suite. Termina-t-elle un peu coquine.

Coeur d'Aubépine s'installat confortablement, et fit sa toilette. En entendant sa réponse elle se serrat contre elle et lui fit un sourire plein de fièretée.
-Je suis si contente pour toi ! Tu va avoir des chatons, c'est formidable !!
Elles avaient toujours était pour la paix entre les clans avec sa soeur, mais elle s'inquietait.
-J'ai peur pour toi et tes chatons, dit-elle avec un air triste, tu sais que nous avons toujours étaient pour la paix entre les clans, et justement qu'ils y aient des clans mélés ne peut qu'unifier les différents clans. Mais si les autre te rejettent car tu a trahit ton clan et qu'il te fassent du mal a toi et les chatons ? Et tu sais que je ne veut surtout pas qu'il vous arrive du mal...

Feu de Cendres regarda sa soeur tout en l'écoutant.

Oui je suis enceinte ! Dit-elle avec joie.

Mais le visage de Coeur d'Aubépine sombri d'un coup.

Moi aussi j'ai peur, répondit-elle tristement, mais c'est pour cette raison qu'il faut que personne ne sage qui est leur père.

Feu de Cendres la regarda avec tendresse lorsqu'elle lui : je ne veut pas qu'il vous arrive du mal...
Ca lui fesait chaud au coeur.

Moi aussi, je ne voudrai pas qu'il t'arrive quelque chose. Dit-elle avec douceur.

Puis, elle se frotta contre sa soeur et se mit à la lécher.

Coeur d'Aubépine se blotie contre Feu de Cendres en ronronent.

-Feu de Cendres ? Je voulais que tu me promète de ne jamais nous séparer l'une de l'autre, quoi qu'il arrive, d'accord ?

Aubépine pensa a se qui pourrai arriver si quelqu'un apprenai qui était le père des chatons, elle pleura même tellement cette pensée lui était inconsevable, impossible.

Feu de Cendres était très attentive.

Mais bien sur voyons, tu es ma soeur et personne ne pourra jamais nous séparer. Dit-elle avec conviction.

Puis elle regarda sa soeur avec tendresse. Mais, elle s'aperçu vite que sa soeur commença à pleurer.

Pourquoi tu pleure ? On restera toujourd ensemble, n'est-ce pas ? Dit-elle avec une pointe d'inquiètude dans la voix.

Pour essayer de se rassurer, Feu de Cendres ferma les yeux et respira calmement le doux parfum des fleurs sauvages. * Quelle endroit magnifique quand meme. * Pensa-t-elle en réouvrant les yeux et en regardant denouveau sa soeur.

En entendant l'air inquiet de sa soeur, Coeur d'Aubépine se resésie.*Il ne faut pas lui faire de la peine, qu'elle idiote je fais ! *se dit-elle.

-Non rien, je me fais trop de mauvais sang ! dit-elle, bien sur qu'on restera toujours ensemble ! Est-ce que tu l'a dit a quelqu'un d'autre que tu est enceinte ?

Cela sembla rasurer Feu de Cendres, qui laissa paraitre un sourire amusé.

Quand Coeur d'Aubépine lui promis qu'elle allait toujours rester ensemble, Feu de Cendres se sentais deja mieux. Elle lui demanda si quelqu'un connaisais l'existance des futurs chatons :

Et bien, je ne l'ai dis encore à personne. Tu es la première à le savoir.

Elle regarda sa soeur dans les yeux.

Pour etre franche, j'ai peur. J'ai peur de la réaction des autres quand ils veront les chatons, à leurs naissance. J'ai peur qu'il me demande qui est leur père et devoir tout leur avouer.

Elle regarda denouveau sa soeur avec une légère lueur d'inquiètude dans les yeux. * Ca me semble si difficile. Je veux les avoir, oui, et je les aimerai plus que tout au monde, mais, seront-ils en sécurité ? * Toutes sortes de questions de ce genre tournoyais dans sa tete.
Elle inspira et expira tout doucement. Elle sentit le parfum des fleurs emplir ses narines. Un vent frais lui caressa sa fourrure rouce, comme pour l'aider à se détendre.

La réponse de sa soeur la troubla.
Pour etre franche, j'ai peur. J'ai peur de la réaction des autres quand ils veront les chatons, à leurs naissance. J'ai peur qu'il me demande qui est leur père et devoir tout leur avouer.
Elle sentit l'odeur de la peur de sa soeur emplir ses narrines. Coeur d'Aubépine se frotta à Feu de Cendres pour la rassurer.
-Ne t'en fait pas, tu oublie que, si elles le veulent, les reines peuvent garder l'identité du père de leurs chatons secrète,dit-elle.

Elle s'écarta et lui fit un énorme sourire emplit de gentillesse, puis sur un ton plus amusé elle lui dit:

-Arrête de t'inquièter tu est pire que moi !!! Et pourtant, je suis dure à battre sur ce terrain là !

Ce qu'avait dit Coeur d'Aubépine, rassura Feu de Cendres. Tu sais bien que les reines ont le droit de garder l'indentité du père secrète.

Tu as résond, soeurette. Lui dit-elle en la regardant tendrement.

Puis, sa soeur rajouta : Arrête de t'inquièter tu est pire que moi !!! Et pourtant, je suis dure à battre sur ce terrain là ! Feu de Cendres cacha un léger rire.

C'est vrai. A quoi bon s'inquièter ? Dit-elle.

elle regarda sa soeur dans les yeux rajouta :

Tu as toujours les mots pour me redonner le sourire. Je t'aime tit soeur.

Elle donner un petit coup de patte amical sur la figure de la guerrière. Puis, repris d'un ton amusé :

Et dire que c'est moi la grande soeur ! C'est moi qui devrais te redonner le sourire !

Les deux chattes se levèrent et marchèrent en direction du camp, tout en se t'aquinant sur le chemin du retour.